La maison du travesti

J'avais trouvé par hasard une publicité sur le net faisant la part belle à la féminité.

Il s'agissait d'une maison style salon de thé réservée aux hommes souhaitant devenir femme le temps d'un après midi. L'annonce stipulait que toutes tailles de vêtements, de dessous sexy étaient disponibles, que toutes les pointures d escarpins existaient, du modèle simple au plus élaboré. Enfin il était précisé que la couleur et la taille des perruques dépendaient d'un large choix en stocks tout autant que les dessous aux possibilités illimitées.

Une équipe de manucures, maquilleuses habilleuses étaient mises à dispo le temps d'un après midi pour faire d'un homme la femme qu il rêvait d'être. La prestation était réalisée en toute discrétion et se négociait au tarif de 150 euros la demie journée.

Je prenais attache par téléphone avec la gérante qui d'une voix suave me rassura complètement. Elle me précisa que ma demande était courante et que son passé libertin lui avait ouvert les yeux sur ce sujet tabou. Elle avait compris qu'un marché existait, que trop d 'hommes souffraient en cachette sans pouvoir réaliser leurs fantasme et avait ouvert cette maison pour faire rêver et permettre à des fiottes de réaliser les fantasmes qu'ils ne pouvaient se permettre chez eux.

Je lui racontais que je souhaitais tomber le masque, mes fringues d'homme, ma tenue militaire notamment et devenir Candice sous les doigts de ses employées. Elle confirma que tout était possible pour ce type de prestation. Un seul impératif lié à l'affaire, arriver avec un lavement anal complet afin de pouvoir réaliser un coït. En effet continua t elle, généralement les hommes se sentent si femmes qu'ils veulent à tout prix se faire enfiler par une bite ou un gode. Elle ajouta, certains admirateurs du 3ème sexes sont prêts à payer un rapport pour sauter un trav du jour. Cela peut amortir les frais. Elle connaissait des clients qu'elle pouvait facilement mobiliser pour avoir des rapports sexuels avec des "filles". Elle me proposa de les mobiliser. A moi de réfléchir. Je n'attendais pas longtemps avant de donner mon accord pour qu'elle sollicite expressément la présence d'un ou deux hommes, de préférence des militaires en tenue avec treillis et rangers.

15 jours plus tard, je décidais d'aller au bout de mon idée. Ma femme était partie tôt au boulot et devait rentrer tard après une réunion de travail. J'avais le temps nécessaire pour me préparer, me rendre à la maison du travestissement et profiter de la femme que je voulais être.

Avant de partir, pour me mettre dans l ambiance j'avais piqué quelques dessous dans le tiroir de mon épouse et enfilé une paire de bas noirs en nylon avant de revêtir mon treillis et mes rangers. En route je fis une pause dans un bar où j'entrais en remuant le cul comme une minette malgré ma tenue militaire et je croisais deux soldats en uniforme appuyés au comptoir entrain de deviser entre eux. En ressortant j'ondulais du cul avec un brin de féminité exacerbé par les bas qui frottaient mon pantalon et le fantasme que ces trouffions soient les gars que l'hôtesse avait peut être contacté. Deux beaux militaires, apparemment bien charpentés, ni trop gros, ni maigres, avec des visages agréables à regarder véhiculant un parfum de virilité.

Arrivé à la maison du travestissement je sonnais à la porte et une jolie demoiselle perchée sur des talons vertigineux, jolie frimousse, m'accueillit me demandant de préciser mon rdv.
Elle pris ma main et me conduisit dans un vestibule où je devais me dévêtir et tout ranger dans un placard et dans un coffre mis à ma disposition pour les documents importants.

Nu à attendre, je patientais 10 minutes devant une glace qui ne cachait nullement l'érection qui m'avait gagnée. Je bandais ferme, mon gland au bout de mon noeud recourbé vers le haut reniflait l'atmosphère, l'ambiance salon de thé qui se dégageait de l'endroit.

Une seconde hôtesse vint me chercher avant de me conduire dans un salon de maquillage attenant à la pièce. Elle me fit m asseoir et commença à s occuper de moi.....Je devais relever les cils pour qu'elle me passe du mascara, me fasse un trait de lyner et quelques ombrages aux paupières avant de m'étaler un fond de teint mat et finir par un rouge à lèvres écarlate. je devais pincer ma lèvre haute sur la basse afin d étaler uniformément le rouge. Un trait autour des lèvres vint finir les détails. Je bandais encore plus lorsqu'elle me proposa une perruque brune coupe carrée que je trouvais superbe. Une fois posée sur ma tête j'eu du mal à me reconnaitre et je demandais à l'une des filles de me photographier pour immortaliser l'instant.

Du vernis rouge également sur les ongles, quelques bijoux aux doigts, des boucles d oreilles, un collier et j'entendis une des deux filles m'appeler Candice. Elle souhaitait que candice la rejoigne devant le garde robes et fasse sont choix sur la tenue qu'elle souhaitait. J'optais pour une magnifique jupe plissée jaune canari et un ensemble de dessous rouge ferrari et noirs. Un soutien gorge à balconnets, un slip à dentelles assorti, un porte jarretelles et enfin un chemisier rouge boutonné sur le devant.
J'étais entièrement habillée et elle me proposa de faire mon choix dans les escarpins que je choisissais rouges en velours avec le bout ouvert et un petit noeud dessus. Mes petits pieds vernis eux aussi et gainés entrèrent sans difficulté dans un 41.

J'étais enfin celle que j'aurais du être. Un frissonnement de plaisir parcouru mon corps des pieds à la tête, un étourdissement de plaisir me gagna. J'étais une dame, une femme sexy juchée sur des talons hauts à me regarder à nouveau devant la glace. Seule une protubérance soulevait ma jupe au niveau de mon sexe et trahissait mon sexe. J'étais excitée plus fort que d'habitude et mes hôtesses durent s en apercevoir. Elles vinrent à 4 mains me caresser la bite, se penchèrent dessus mon gland pour l aspirer entièrement entre leurs lèvres et le relâcher.
J'étais perdue, transportée, canonisée. Ma sève tambourinait fort dans mes couilles mais les demoiselles, sans doute pour maintenir mon excitation, lâchèrent leur proie et m'invitèrent à les suivre dans le parc paysagé où je pouvais marcher en claquant des talons; me déhancher devant des hommes murs et plus jeunes, montrer mes jambes, mes fesses, me sentir femelle.

Je parcourais 45 minutes de long en large le parc mais mon émotion ne retombait pas au contraire. Tous ces regards admirateurs, ces bouches humides, ces gens que je frôlais dans le parc me mettaient hors de contrôle. J'avais envie de baiser, mon côté chienne surgissait soudain. Je découvrais le pouvoir de séduction qu'a une femme habillée en femme. J'étais celle que ma naissance avait affublé d'une verge alors qu'aujourd'hui une chatte me conviendrait. Qu'à cela ne tienne, mon clito et mon cul pouvaient être à leur tour une chatte accueillante si je m'ouvrais à l exercice.

Je rentrais au salon pour m asseoir en tailleur dans un fauteuil face à l'entrée et je commandais un café. Du bout des doigts, l'auriculaire dressé comme une minette, je saisi ma tasse pour la porter à mes lèvres tout en fixant les deux militaires qui entraient, les deux que j'avais croisé auparavant dans un bar. Ils me jugèrent sans doute à leur goût car leurs clins d oeil ne furent pas discrets. Il faut dire qu'ils savaient ce qu'ils cherchaient et la clientèle qui fréquentait l établissement.
L'un deux se frotta l'entre jambes vulgairement tout en me glissant un regard indicateur vers où il souhaitait me voir aller. Il indiquait les toilettes et se dirigea vers eux.
Je posais doucement ma tasse et m'y rendit aussitôt,
Dans celles ci je fus poussé dans une toilette et la porte se referma aussitôt derrière moi.
Le sergent chef se jeta sur moi et m'embrassa goulûment, plongeant sa langue jusqu'à ma glotte, cherchant la mienne à la manière d'un matador son taureau dans une arène. Il la trouva facilement et je me surprenais à saisir ses hanches pour m'approcher et me coller à lui telle une vamp dans un film X. Mes mains frôlaient son corps sous la veste de treillis, l'une d elle s'empara du premier bouton de braguette découvert et entrepris de les défaire un à un.
Ma main vint soupeser les bijoux et sorti de son écrin kaki une belle verge en érection.
Surprise de mon audace je m'agenouillais comme saisit d'une faiblesse et engloutissais son membre dans sa totalité. La chair douce et onctueuse sentait bon le monoï et je me faisais un malin plaisir à soutirer des cris étouffés à mon tortionnaire.
Plaqué contre la porte de contreplaqué, ses mains prenaient appui sur celle-ci afin de tenir le choc de cette fellation improvisée. Je m'en donnais à coeur joie et mon esprit s'envolait dans un monde féminin où je n étais qu'une nympho parmi tant d autres, encerclée par des sexes épanouis qui ne demandaient qu'à jouir. Le bruit de succion que je prodiguais sur cette magnifique verge se répercutait sur les murs et revenait aux oreilles comme un ressac.
Cet à cet instant que le second militaire entra dans les toilettes en appelant son collègue.

Celui-ci débarra le verrou et le fit entrer, me poussant sans ménagement sur la cuvette. A califourchon sur celle-ci, il souleva ma jupe plissée et glissa son membre dans mes fesses après avoir craché de la salive dessous pour me lubrifier l'anus. Il poussa un peu tandis que je reculais et il s'emboita parfaitement dans mon cul tandis que le premier tendait son sexe dans ma bouche pour faire taire toute velléité. A moitié étouffée j ingurgitais son sperme qu'il n'avait pas pu retenir, la scène l'ayant sans doute trop excité. Je nettoyais cette bite avec application, tirant quelques râles encore à son propriétaire.

Pendant ce temps je me faisais limer comme une trainée, il frappait de ses mains mes fesses en m'insultant. Ma tête cognait la cloison du wc au rythme de ses coups de queues. Je bougeais mon bassin comme une folle, criant ouiiiiiiii ouiii fuck me, fuck me, oh my god que c'est bon ! oh my god, putain que ta queue est bonne.....sur ces propos le gars s'empala carrément dans mon cul, ses couilles touchèrent les miennes alors qu'il agonisait de plaisir. Son jet puissant frappa mon os pubien et je sentis la liqueur chaude s'étaler sur les parois pour aller mourir au fond de mon anus. D'une langue agile il tenta de récupérer son don en léchant mon cul comme on savoure une glace italienne.

Les deux comparses, à peine remis m'invitèrent à aller prendre un café au cours duquel il surent passer leurs mains sur mes jambes, sur mon string tout en gardant beaucoup de discrétion. Quelques gorgés plus tard ils me tendirent leurs mains comme le feraient deux chevaliers pour me conduire dans un salon aux éclairages tamisés où deux autres couples copulaient déjà. J'entrais sur la pointe des talons, les mains sur les hanches, la langue aux aguets lorsqu'ils m'ordonnèrent de manger le cul de la blonde à quatre pattes qui suçait son compagnon du jour. Ma langue de serpent s'introduisit sans difficulté dans l intimité de la dame qui miaulait comme une furie tout en pipant frénétiquement. Son cul sentait bon les effluves sensuelles, ses fesses généreuses étaient un appel à l'abandon de soi. J'avais le visage enfuit entre deux beaux lobes et mon érection ne fit que redoubler lorsqu'elle venta aux autres la qualité de mon annulingus.....je mangeais littéralement ses fesses, je me régalais lorsqu'elle souhaita s asseoir sur mon visage pour se faire brouter.....et me voir les jambes en l'air, posée sur de larges épaules, sodomisée à nouveau par l'un des va t'en guerre ! Son canon pilonnait ma chatte, ma langue en pilonnait une autre.....
J'en profitais pour att****r mon clitoris et le branler.....enculée comme une pouffe, la langue occupée sur une chatte humide je ne mis pas longtemps avant de maculer mon ventre d'un épais liquide blanc que la dame s'empressa d essuyer avec ses doigts et les porter à sa bouche....
L'après midi fut un mélange de parade, de balade et de sexe dans un paradis féminin où la discrétion des lieux n'a d égale que la qualité des prestations, la beauté des femmes et hommes qui fréquentent ces lieux. J'ai remis plusieurs fois mon habit de femme depuis et chaque fois mon corps a demandé à être souillé, à être honoré aussi. Quelle création visionnaire d'avoir ouvert cet établissement.