Une heure à l’Atlas
Je suis libre de 11 heure à midi.
J’ai envie.
Trop court pour aller au sauna. Je file à l’Atlas. Le métro, station Pigalle, je traverse la rue, j’y suis. C’est pratique.
Je commence par la salle du bas. L’escalier jusqu’au wc, je pousse la porte. Personne. J’avance dans le noir. Une silhouette debout dans le renfoncement à droite, je l’approche. Il est à poil ! Des bas, une espèce de perruque bouclée qui lui cache la moitié du visage. J’att**** sa pine, je tripote ses couilles, il gémit. Ça m’excite. Il commence à bander. Je baisse mon futal et mon slip. Je branle les deux bites en même temps. C’est ce qu’on appelle « frotting ». Je lui triture les seins et les tétons. Il se laisse faire. Je m’agenouille pour le prendre en bouche. Je pompe, lèche les couilles, remonte avec la langue tout le long de sa tige, l’englouti à nouveau pour une gorge profonde, lui titille le méat… Il se retourne et me présente son cul pour que je le lèche et l’encule. Je lui doigte le trou. Il est étroit et pas lubrifié je ne pense pas pouvoir y mettre ma bite. Je le travaille à la main, un, deux doigts, ça ne rentre pas plus. Il a l’air d’apprécier, il chaloupe des anches et soupire. Un autre client s’est approché et regarde en se branlant. J’aime. On change de position. C’est à mon tour d’offrir mon cul. Derrière moi il frotte sa bite dans ma raie, il appuie sans vraiment rentrer. Un autre voyeur s’approche…
Mais le temps passe. J’abandonne mon partenaire pour visiter l’étage du dessus.
Devant la petite glace du couloir un travesti et entrain de se préparer. Perruque blonde, robe bouffante en satin rose, talons aiguilles.. assez années soixantes, mais excitant. Je ne vais pas lui sauter dessus tout de suite j’attends qu’il soit prêt.
En haut, personne. Si au dernier rang, un gros type, chemise ouverte, culotte aux genoux en occupé à se faire branler pas son voisin. J’envisage d’aller proposer mes services puis renonce. Deux ou trois autres personnes tournicotent en cherchant une occasion. Je m’assois dans le passage et commence à me branler en regardant le film. Personne ne vient m’aider et le travesti ne se présente toujours pas.
Je redescends à la salle du bas. Mon nudiste est occupé à discuter avec un autre client.
Je remonte.
Le travesti s’est assis dans le passage et regarde le film. Je l’aborde mais je suis rejeté. Je vais pour m’assoir à côté mais il/elle se lève. Je m’éloigne. Quelle déception. Je reste à proximité en me branlotant pour surveiller ce qu’il va se passer. Rien. Il/elle reste seul(e). Il/elle voulait peut-être simplement voir le film !
Par contre le nudiste est remonté dans la salle du haut et vient aussi s’assoir dans le couloir. Il est vite rejoint par un client qui s’ agenouille entre ses jambes pour le sucer puis qui s’assoit sur ses genoux après avoir descendu sa culotte, pour se faire enculer. Il monte et descend sur la bite de l’autre. C’est très excitant mais il faut que j’y aille. Je rentre mon matériel et ferme ma braguette.
C’est sûr cette vision agréable que je quitte les lieux. Je reviendrai très bientôt.
Malheureusement ce n’est que trois mois plus tard que j’en ai l’occasion. La encore le temps m’est compté. Je ne suis libre que jusqu’à 15 h. J’arrive à l’Atlas à 12 h 30 craignant qu’il ne se passe rien.
Dans la salle du bas je suis seul. Je monte à l’étage. Une silhouette blanche assise dans le couloir. Des cheveux noirs, des bras nus, des jambes nues.. un trav. Je m’approche, je salue. Pas de réponse. J’avance une main pour une caresse mais je suis repoussé. Déception. Tout en haut de la salle trois spectateurs se branlent. L’un d’eux a complètement baissé son pantalon et son slip. J’envisage d’aller le sucer mais finalement je renonce.
Je redescends les escaliers. J’appelle un des numéros écrit dans le couloir qui se présente comme proposant les services d’une bonne suceuse. Ça m’a toujours excité les messages qu’on trouve dans les chiottes où des endroits de ce genre. Malheureusement pas de réponse.
Je rentre dans la salle du bas. Il y a plus de monde. Au fond 3 ou 4 types sont agglutinés, au moins l’un d’entre eux a sorti sa bite et se branle. Les autres regardent pour l’instant. Au milieu de la salle en bout de rang, j’aperçois des cheveux longs, de la peau blanche. Un trav. Je tente ma chance. Je m’assois à côté d’elle. Je ne suis pas repoussé. Au contraire elle déplace son sac pour le faire de la place. Bon signe. Je lui caresse le bras, les épaules, son téton droit qui dépasse de son soutien-gorge. Il est très gros et long comme j’aime. Excitant. En réponse elle me masse la bite donc je descend mon pantalon pour être plus à l’aise. Elle fouille dans son sac, sort un sopalin et m’essuie très soigneusement avant de se pencher pour me prendre en bouche. Elle pompe très bien. Je l’aide de mon mieux en chaloupant des anches et finalement je me lève pour lui baiser la bouche debout. Elle pompe, elle suce, elle lèche en me tenant les couilles d’une main douce mais ferme. Je me penche pour lui triturer les tétons ce qu’elle semble bien apprécier. J’adore ça, être pompé devant tout le monde. Elle y va de bon cœur, elle voudrait que je lui jute dans la bouche et sur le visage mais je ne suis pas encore prêt. Je me rassois à côté d’elle pour la remercier mais quand je veux à mon tour lui prendre le sexe en main pour la branler un peu elle m’arrête. Très satisfait je la salue, elle me dit « à tout à l’heure ».
En me dirigeant vers le fond de la salle je revois le premier trav qui j’avais vu dans la salle du haut. Il est assis en bout de rang et regarde les branleurs du fond. J’hésite à l’aborder à nouveau mais finalement je renonce et quitte les lieux pour descendre à l’EMC ou j’ai une heure pour sucer à mon tour.
Personne au hammam ou dans la backroom, je vais me branler dans la salle de ciné. Rapidement un gros type vient s’agenouiller entre mes cuisses pour me sucer mais il ne tète que le gland sans s’enfoncer toute la bite dans la gorge. Quand il arrête et s’assoit à côté de moi je m’agenouille à mon tour pour le pomper. Il a une toute petite bite mais de grosses couilles. Je peux donc faire une gorge profonde sans difficulté.
Après cela je m’installe dans le jacuzzi qui est assez encombré et je m’écarte pour permettre à un autre usager de s’installer à côté de moi. J’ai pas beaucoup de temps aussi je lui att**** rapidement la bite ce qu’il a l’air d’apprécier. Il est bien raide et il me caresse le trou du cul. J’aimerai qu’il m’encule mais je le laisse partir sans lui demander.
Je remonte pour me doucher avant de partir et tombe sur deux usagers occupés à se branler et se sucer. Je me faufile sans les déranger et entreprend de me savonner la bite et le cul. L’un des deux branleurs quitte les lieux et l’autre vient s’occuper de moi en hésitant pas à prendre en bouche ma bite savonneuse. Ensuite il le présente son gros cul que je doigte mais que je n’encule pas faute de capote. J’aurai peut être du.
Pressé je quitte les lieux tout à fait satisfait.
J’ai envie.
Trop court pour aller au sauna. Je file à l’Atlas. Le métro, station Pigalle, je traverse la rue, j’y suis. C’est pratique.
Je commence par la salle du bas. L’escalier jusqu’au wc, je pousse la porte. Personne. J’avance dans le noir. Une silhouette debout dans le renfoncement à droite, je l’approche. Il est à poil ! Des bas, une espèce de perruque bouclée qui lui cache la moitié du visage. J’att**** sa pine, je tripote ses couilles, il gémit. Ça m’excite. Il commence à bander. Je baisse mon futal et mon slip. Je branle les deux bites en même temps. C’est ce qu’on appelle « frotting ». Je lui triture les seins et les tétons. Il se laisse faire. Je m’agenouille pour le prendre en bouche. Je pompe, lèche les couilles, remonte avec la langue tout le long de sa tige, l’englouti à nouveau pour une gorge profonde, lui titille le méat… Il se retourne et me présente son cul pour que je le lèche et l’encule. Je lui doigte le trou. Il est étroit et pas lubrifié je ne pense pas pouvoir y mettre ma bite. Je le travaille à la main, un, deux doigts, ça ne rentre pas plus. Il a l’air d’apprécier, il chaloupe des anches et soupire. Un autre client s’est approché et regarde en se branlant. J’aime. On change de position. C’est à mon tour d’offrir mon cul. Derrière moi il frotte sa bite dans ma raie, il appuie sans vraiment rentrer. Un autre voyeur s’approche…
Mais le temps passe. J’abandonne mon partenaire pour visiter l’étage du dessus.
Devant la petite glace du couloir un travesti et entrain de se préparer. Perruque blonde, robe bouffante en satin rose, talons aiguilles.. assez années soixantes, mais excitant. Je ne vais pas lui sauter dessus tout de suite j’attends qu’il soit prêt.
En haut, personne. Si au dernier rang, un gros type, chemise ouverte, culotte aux genoux en occupé à se faire branler pas son voisin. J’envisage d’aller proposer mes services puis renonce. Deux ou trois autres personnes tournicotent en cherchant une occasion. Je m’assois dans le passage et commence à me branler en regardant le film. Personne ne vient m’aider et le travesti ne se présente toujours pas.
Je redescends à la salle du bas. Mon nudiste est occupé à discuter avec un autre client.
Je remonte.
Le travesti s’est assis dans le passage et regarde le film. Je l’aborde mais je suis rejeté. Je vais pour m’assoir à côté mais il/elle se lève. Je m’éloigne. Quelle déception. Je reste à proximité en me branlotant pour surveiller ce qu’il va se passer. Rien. Il/elle reste seul(e). Il/elle voulait peut-être simplement voir le film !
Par contre le nudiste est remonté dans la salle du haut et vient aussi s’assoir dans le couloir. Il est vite rejoint par un client qui s’ agenouille entre ses jambes pour le sucer puis qui s’assoit sur ses genoux après avoir descendu sa culotte, pour se faire enculer. Il monte et descend sur la bite de l’autre. C’est très excitant mais il faut que j’y aille. Je rentre mon matériel et ferme ma braguette.
C’est sûr cette vision agréable que je quitte les lieux. Je reviendrai très bientôt.
Malheureusement ce n’est que trois mois plus tard que j’en ai l’occasion. La encore le temps m’est compté. Je ne suis libre que jusqu’à 15 h. J’arrive à l’Atlas à 12 h 30 craignant qu’il ne se passe rien.
Dans la salle du bas je suis seul. Je monte à l’étage. Une silhouette blanche assise dans le couloir. Des cheveux noirs, des bras nus, des jambes nues.. un trav. Je m’approche, je salue. Pas de réponse. J’avance une main pour une caresse mais je suis repoussé. Déception. Tout en haut de la salle trois spectateurs se branlent. L’un d’eux a complètement baissé son pantalon et son slip. J’envisage d’aller le sucer mais finalement je renonce.
Je redescends les escaliers. J’appelle un des numéros écrit dans le couloir qui se présente comme proposant les services d’une bonne suceuse. Ça m’a toujours excité les messages qu’on trouve dans les chiottes où des endroits de ce genre. Malheureusement pas de réponse.
Je rentre dans la salle du bas. Il y a plus de monde. Au fond 3 ou 4 types sont agglutinés, au moins l’un d’entre eux a sorti sa bite et se branle. Les autres regardent pour l’instant. Au milieu de la salle en bout de rang, j’aperçois des cheveux longs, de la peau blanche. Un trav. Je tente ma chance. Je m’assois à côté d’elle. Je ne suis pas repoussé. Au contraire elle déplace son sac pour le faire de la place. Bon signe. Je lui caresse le bras, les épaules, son téton droit qui dépasse de son soutien-gorge. Il est très gros et long comme j’aime. Excitant. En réponse elle me masse la bite donc je descend mon pantalon pour être plus à l’aise. Elle fouille dans son sac, sort un sopalin et m’essuie très soigneusement avant de se pencher pour me prendre en bouche. Elle pompe très bien. Je l’aide de mon mieux en chaloupant des anches et finalement je me lève pour lui baiser la bouche debout. Elle pompe, elle suce, elle lèche en me tenant les couilles d’une main douce mais ferme. Je me penche pour lui triturer les tétons ce qu’elle semble bien apprécier. J’adore ça, être pompé devant tout le monde. Elle y va de bon cœur, elle voudrait que je lui jute dans la bouche et sur le visage mais je ne suis pas encore prêt. Je me rassois à côté d’elle pour la remercier mais quand je veux à mon tour lui prendre le sexe en main pour la branler un peu elle m’arrête. Très satisfait je la salue, elle me dit « à tout à l’heure ».
En me dirigeant vers le fond de la salle je revois le premier trav qui j’avais vu dans la salle du haut. Il est assis en bout de rang et regarde les branleurs du fond. J’hésite à l’aborder à nouveau mais finalement je renonce et quitte les lieux pour descendre à l’EMC ou j’ai une heure pour sucer à mon tour.
Personne au hammam ou dans la backroom, je vais me branler dans la salle de ciné. Rapidement un gros type vient s’agenouiller entre mes cuisses pour me sucer mais il ne tète que le gland sans s’enfoncer toute la bite dans la gorge. Quand il arrête et s’assoit à côté de moi je m’agenouille à mon tour pour le pomper. Il a une toute petite bite mais de grosses couilles. Je peux donc faire une gorge profonde sans difficulté.
Après cela je m’installe dans le jacuzzi qui est assez encombré et je m’écarte pour permettre à un autre usager de s’installer à côté de moi. J’ai pas beaucoup de temps aussi je lui att**** rapidement la bite ce qu’il a l’air d’apprécier. Il est bien raide et il me caresse le trou du cul. J’aimerai qu’il m’encule mais je le laisse partir sans lui demander.
Je remonte pour me doucher avant de partir et tombe sur deux usagers occupés à se branler et se sucer. Je me faufile sans les déranger et entreprend de me savonner la bite et le cul. L’un des deux branleurs quitte les lieux et l’autre vient s’occuper de moi en hésitant pas à prendre en bouche ma bite savonneuse. Ensuite il le présente son gros cul que je doigte mais que je n’encule pas faute de capote. J’aurai peut être du.
Pressé je quitte les lieux tout à fait satisfait.
1 año atrás
