MARIA EN PLEINE DECOUVERTE

Ayant eu le plaisir de faire la connaissance de Maria, que je baptisais ma "cagole" pour rappel superbe brune cheveux longs, 1m55 70kg 47ans un alléchant 95C aux tétons très sensibles, avant son retour vers la cité phocéenne m'avait invité.
M: mon coquin chéri si tu veux, t'invite à venir faire un tour chez moi.
C: oui ma cagole suis libre comme l'air, mes filles sont en vacances en Italie.
M: génial mon chéri sera heureux de faire ta connaissance.

Ceci fait ma cagole chérie prenait le TER pour rejoindre son domicile, dès son arrivée me passait un appel pour me signifier qu'elle avait été reçue comme une reine par son Alain chéri.
M: mon grand peux tu être là demain?
C: bien sur mais tu es à peine arrivée, je te manque déjà?
M: oui c'est évident, mais pendant le trajet de retour ai eu une idée.
C: quelle idée t'es passée dans la tronche?
M: je n'ai jamais été dans un sex shop, et il y en a un très chaud d'après ce que l'on m'a dit.
C: oui et que veux tu que je fasse.
M: m'accompagner car tu sais même si c'est proche de la Cannebière suis stressée.
C: d'accord mais Alain peux pas venir?
M: non il part en déplacement, tu auras juste le temps de le saluer car il prends l'avion.
C: d'accord je serais là dans trois heures ma pute chérie.
M: super t'es chou mon coquin.

Ayant raccroché prépare en vitesse un sac de sport dans lequel je met du rechange, et prends la route rejoindre ma cagole, la route se passe sans problèmes et grâce au GPS trouve rapidement l'adresse de ma brune, à mon arrivée la découvre devant la porte de son immeuble, elle m'indique une place de parking et me fait monter à son appartement ou je suis reçu par Alain, un beau blond aux yeux blonds.
A: enchanté Christian, Maria ne tari pas d'éloges sur vous.
C: enchanté aussi, mais suis gêné qu'elle me couvre de fleurs.
A: de toutes façons serait plus tranquille, car la laisser seule ici pour trois jours votre présence me rassure, bon c'est pas tout faut que je file à Marignane pour prendre mon vol.

On se serre la main, Alain embrasse sa douce qui l'accompagne rejoindre son véhicule, quand elle remonte elle ma saute dans les bras, m'embrassant à pleine bouche m'entrainant vers la chambre conjugale.
La nuit avec Maria fut chaude, au matin alors que l'on était allongés elle m'exposa son envie.
M: oui j'ai cette envie qui tourne dans ma tête, veux découvrir l'ambiance des sex shops mais une copine m'a dit que pour une femme seule c'était dangereux.
C: elle a pas tout à fait tort, car il y a quelques tarés qui sont en manque de chair fraiche.
M: tu veux dire que je risque de me faire coincer et ******* é e.
C: tout à fait entre autres.
M: hummmm rien que d'y penser ça m'excite, on peut y aller cet après midi?
C: à ta disposition ma cagole, bon si on se levait.
M: allez viens on va se doucher, veux me faire belle pour cette après midi.

La douche fut encore l'occasion pour Maria de me dévoiler ses envies inavouables, on prit un repas rapide et allait avec la cagole choisir une tenue sexy, je trouvais dans sa penderie un superbe chemisier noir plus ou moins transparent, lui faisait mettre un soutif blanc à balconnet rehaussant ainsi sa poitrine, puis une mini jupe en cuir moulante mettant en valeur son cul accueillant, par contre lui interdisait de mettre un string, uniquement des bas noirs résilles auto fixant, ainsi qu'une paire d'escarpins aux talons de 12cm, ainsi vêtue j'avais devant moi la parfaite cagole, je dois avouer que ma tige ressentait des émotions.

Vers 15h nous nous dirigeons vers la Cannebière sous quelques réflexions grivoises, qui nous laissaient de marbre, à l'arrivée sur les lieux je repérait le sex shop ainsi qu'une terrasse ou je fis assoir Maria pour nous rafraichir et voir l'effet qu'elle procurait aux passants, à peine installés le garçon vint prendre la commande, là fit remarquer à ma pute l'effet qu'elle procurait lui montrant la bosse qui déformait le pantalon.
M: oh le salop il bande ça m'excite.
C: tu es tentée alors va pisser et fait en sorte qu'il te suive.
M: pervers tu vas venir mater.
C: non reste ici admirer les petits culs qui passent.
M: salop tu changera pas, sur ce elle se lève interpelle le garçon lui demandant le chemin des toilettes.

Au bout d'un bon quart d'heure elle revint s'assoir.
C: tiens prends ce mouchoir, t'as un peu de sperme au coin des lèvres, alors ma cagole?
M: tu avais raison, il m'a accompagnée vu que c'était au sous sol, je me suis assise sur la cuvette pour pisser là il a ouvert sa braguette pour sortir sa bite.
C: oui continue déballe tout, on est pas dans une série.
M: je lui ai saisi son chibre l'ai embouché, lui ai saisi les couilles rien que ça ce con a déchargé, il m'a rempli la bouche j'ai cru étouffer et j'ai tout craché, putain j'avais pourtant envie de prendre du plaisir, il est reparti du coup je me suis astiqué le bouton pour jouir.
C: d'accord tu dois être trempée alors lève toi, moi vais aller régler, après tu entreras en premier dans le magasin et te suivrais.
M: oui je t'attends mon grand, mais dépêche toi, car regarde ai des papillons qui tourne autour.

Dès que je ressors effectivement elle est entourée de trois types, dès qu'elle me voit me prends par le bras attirant de ce fait des réflexions genre "une pute à vieux" "non c'est son mac", nous ignorons regardant la vitrine là lui fait signe d'entrer, ce qu'elle fait j'attends quelques instant pour entrer à mon tour, je repère vite ma cagole elle est devant le rayon des cassettes autour d'elle il y a deux mecs bronzés, un lui a directement mis la main au cul elle a un sursaut mais le zèbre accentue sa pression la faisant entrer dans une cabine, ou elle entre laissant la porte entre baillée permettant au complice du mec dans la cabine, d'admirer ce qui se passe ce con se branle admirant la scène, le premier ressort remballant son matériel laissant place au voyeur, m'approche pour mater et éventuellement secourir ma pute, elle est à genoux sur un tabouret le type a le froc sur les chevilles pilonnant ma cagole, de la voir ainsi me déclenche une trique d'enfer, le type se vide en elle dans un hhhaannnnnnn saaaaalooppee.

Maria me voyant me rejoint.
C: alors ça t'a plu?
M: suis un peu déçue, le premier m'a obligé à le sucer au bout de ************* minutes il m'a balancé une tonne de foutre, j'ai cru que j'allais dégueuler du coup j'ai tout recraché, son copain m'a obligée à le sucer puis m'a fait agenouiller pour entrer dans ma chatte, lui aussi en ************ minutes il avait jouis, moi suis restée sur ma faim j'ai la chatte gluante et j'ai pas pris mon pied.
C: te comprends ma chérie, au fait j'ai vu qu'il y avait un glory hole ça te tente?
M: oui mais pas maintenant, demain si tu veux ai besoin de rentrer me laver.
C: comme tu veux j'appelle un taxi?
M: non on prends le métro il y a une ligne directe qui nous dépose aux pieds de mon immeuble.
C: comme tu veux ma cagole, allez prends moi le bras et allons à la station.

Nous descendons les escaliers pour nous trouver sur le quai, pour attendre la rame qui arrive déjà, nous grimpons à bord moi me met sur un strapontin, ma cagole se tenant après la barre au milieu du compartiment, putain est ce l'odeur ou la tenue un peu débraillée de ma pute, mais c'est une nuée d'admirateurs qui la cerne moi me régale, à cet instant elle a sa mini jupe relevée le cul à l'air un superbe noir a sorti son chibre imposant, là à voir la tête de ma salope je comprends qu'elle semble apprécier, sans compter qu'elle commence à bouger son cul, pas mal elle est collée à la barre les coups du black la font se frotter la chatte sur l'acier c'est à croire qu'il y a le feu dans le wagon vu les "ssaaaloopppppppp bourrrrrreeeee mmoiiiiiiii lllllllllle ffffffffionnnnnnnnnnnn" "t'aime les gros cierges putain" "oooouiiiiiiiii pilllonnnneeeeeeeeeee plussss fffforttttttttttttttttt aaaaaahhhhhhhhhhh c'esssssstttttttt boooonnnnnnnnnnnn jjjeeeeee ccccoulleeeeeee oouiiiiiiii commmmmmme ççççaa" "tu veux que mon pote vienne putasse de vide couilles" "ooooouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii jjjjjeeee veuuxxxxxx unneeeee ddoubleeeeeeeeeee" à ce moment un beur se lève s'approche exhibant un membre de belle taille, en moi même me dit qu'elle va comprendre sa douleur, il se colle contre son copain s'enfonçant dans ce puit d'un coup sec déclenchant "aaaaaiiiiiieeeeeeeeeee mmmmmmaaaaalllllllllll" mais vite remplacé par "aaahhhhrrrrrrrrrrrr trooppppppp booooonnnnn ddéffffonncccccerrrrrrrrrrr lllaaaaaaaaaa ccccaaaagooooooleeeeeeeeeeeeeeeeeeeee ssssaloppppppssssssssssss vvvvvaiiiiiiisssssss jjouiiiiiiirrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr" les deux types à ces beuglements déchargent une sacré dose de foutre dans ce fion, là ma cagole sentant cette crème chaude emplir ses boyaux explose dans un aaaaarrrrrrrggggggghhhhhhhhhhhh tttropppppppp bbbboooonnnnnnn, c'est le moment ou un employé entre par la porte reliant les wagons "c'est quoi ce bordel vous vous croyez où, vos papiers que je verbalise" amenant la réaction de la brune "monsieur excusez mais que vois je" "suffit salope tes papiers" "en échange montre moi ta bite" voyant les deux types partir dans un rire sonore, le contrôleur défait son pantalon d'où jailli un chibre qui claque la joue de la cagole, elle s'en saisi lui pratiquant une fellation, l'homme trop excité lui bloque la tronche lui baisant la bouche comme un malade, ce n'est que hhhummmmmmpppppppfff aaaarrrrgghh des jets de salive s'écoulent sur ce membre, l'employé n'en peux plus explosant dans un hhhaaaaaannnnnnnnnn sssaaaaaaaloopee, vu les yeux de la cagole la dose doit être superbe, mais vu que la bite semble collée dans cette grotte buccale, ma cagole malgré deux ou trois hoquets dégluti avalant lentement cette liqueur.
M: oh mes chéris donnez moi vos sucre d'orge que je les nettoie. les trois se mettent face à elle qui suce ces trois sexes comme une pro, passant sa langue dans les moindres plis de peau, introduisant son bout de langue dans les méats pour récupérer la dernière goutte, et ce qui devait arriver arriva, les trois hommes se remettant à bander voyant ça ma salope prends les choses en mains, façon de parler elle fait assoir le black viens se positionner sur lui, empalant sa chatte sur ce sceptre ajoutant "négro bouffe moi les miches", elle écarte ses fesses gueulant "enculez la cagole", ils ne se font pas prier pilonnant avec joie ce puit si disponible et à nouveau elle repart dans ses vocalises "oooooohhhhhhhhhhhhhh eencccccorreeeeeeeeeeee ppllusssssssssss ffffortttttttttttttttttttttt tttrrrrrrropppppp bbonnnnnnnnnnnnn ooooouiiiiiiii cccccommmmmmmeeeeee ççççaaaaaaaaaa aaarrhhhhhhhh jjjjjjeeee jjjooouiiiiisssssssssss" là elle entraine dans sa chute le black littéralement bloqué dans sa moule, on remarque que le black n'arrête pas de se vider pour le plus grand plaisir de ma cagole.

Heureusement on arrive à une station, mais que faire heureusement le contrôleur pige la situation et avec une commande ferme les portes interdisant la montée à de nouveaux passagers, qui doivent penser que quelqu'un est souffrant vu que Maria est allongée à moitié nue sur un siège, le black simulant un massage cardiaque heureusement que les gens sur le quai ne voie pas la scène, car le black malaxe les nichons de la salope qui aspire le gland de son masseur, la rame repart m'approche de la pute.
C: calme toi salope car ce charmant monsieur pourra bloquer les portes à chaque station, au fait il en reste combien?
M: trois mon papy chéri.
C: rhabille toi on descends à la prochaine et on prendra un taxi.
M: putain j'aurais tant aimé continuer avec ses trois amants, au fait j'aimerais bien que l'on se revoie, on échange nos 06 , moi me présente Maria la cagole et vous mes chéris, le black se prénomme Stéphane, le beur Djamel et le contrôleur Alain, amenant la réaction de la pute "comme mon cocu", les types la fixent.
C: oui excusez là cette pute est mariée, cocufie son mari à longueur de temps il a des cornes plus hautes que le clocher de la bonne mère.

A cette explication ils éclatent de rire, la station approchant ils embrassent ma salope avec effusion, qu'elle rends bien sur notre descente sur le quai ne passe pas inaperçue, vu les taches blanchâtres qui décorent la mini jupe en cuir, le chemisier mal boutonné enfin nous somment dans la rue, au loin j'aperçois un taxi que je hèle quand il stoppe à notre hauteur ma cagole donne son adresse, le chauffeur nous fait monter et partons vers le domicile de ma pute, en cours de route elle pose sa tête sur mon épaule.
M: oh mon pervers autant le sex shop j'ai pas trop aimé, mais le métro génial.
C: j'ai remarqué salope en plus t'as trois nouveaux amants.
M: oh oui t'as vu ces bites, surtout le Steph jamais vu une comme ça. là le taxiteur qui ne perd pas une miette de la conversation, interviens se présente "Moussa pour vous servir tu veux voir le mien putain" "pourquoi et d'abord suis pas une putain mais oui" le chauffeur qui connait le coin entre dans le sous sol d'un immeuble, se gare descend ouvre la porte arrière tombe son short exhibant une sacré trompe moins longue que le black, mais large à vu de nez au moins 12cm on croirait voir un cep de vigne tellement il est noueux, plein de veines ma cagole voyant ça s'en saisi soupèse les burnes, la connaisseuse.
M: oh papy il a des boules de belles oranges bien ferme, j'ai envie d'y gouter?
C: te gêne pas ma salope, suis pas ton mari.
M: Alain s'en moque il adore me voir farcie; là elle embrasse le gland du Moussa, mais sa bouche a du mal a avaler voyant ça avec ses deux mains elle le branle délicatement, estimant qu'il est assez dur elle sort du taxi remonte sa jupe, se couche sur le capot du taxi offrant son cul au chauffeur, qui ne se fait pas prier s'introduisant direct dans cette grotte graisseuse, là Maria s'exclame "ppuuutaiiinnnnnnnnnn qu'eeeelllleee eeeeeestttt ggggrooosssssee aahhhhhhhhhhhhh bourrrrrreeeeee mmmmoiiiiiiiiiiiii sssssaloppppppp ouiiiiiiiiiii pppluuuuuussss foorttttttttttttt pillllonnnnnnneeeeeee lllllaaaaa cccccccaggggooleeeeeeeee ooohhhhhhh cccommmmmmmme ççççaaaaaaaaaaaa ttrrrrrrooopppp booooooonnnnnnnnnnnn aaaarrrrrhhhhhhhh jjjjeeeeeeeee jjjouiiiss" et à ces mots le chauffeur s'épanche dans ce puit déjà bien rempli, la semence s'écoule lentement sur les cuisses de ma pute, le chauffeur se rajuste alors que ma salope reprends place à mes cotés, quand enfin nous arrivons devant chez ma pute vais pour régler la course mais je reçois un refus poli du chauffeur "non c'est gratuit" je le remercie pour la forme et monte avec la belle à son appartement.
C: merci ma salope voyager gratuit c'est toujours bon.
M: normal mon pervers chéri, on a échangé nos 06 ce sera mon chauffeur quand je voudrais aller dans des sex shop, il connait tous les coins chauds de la ville, les clubs libertins les saunas échangistes c'est une mine d'or ce Moussa, crois que je vais m'éclater avec lui sans compter que j'appellerait mes trois loulous, bon mon cochon si on allait prendre un bain?
C: toi oui c'est sur vu ton odeur tu peux y rester la nuit.
M: non veux que tu me frottes comme tu sais faire.

Devant l'insistance de mon hôtesse je la rejoint dans sa baignoire, mais j'ai vite compris ce qu'elle sous entendait par frotter, ce fut un bain des plus savoureux ma cagole me faisant visiter ses grottes plus qu'explorées, mais un de plus il y a longtemps qu'elle ne comptait plus vu qu'elle avait fait ses premières armes à 14ans, après ce bain délicieux nous dinèrent pour ensuite nous coucher, ma pute chérie me faisant dormir avec elle pour une nuit des plus débridée.

Cette nuit sera peut être le début d'une nouvelle visite phocéenne.


FIN

A SUIVRE SI MARIA LE SOUHAITE
Publicado por ccandau
1 mes atrás
Comentarios
4
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ccandau
para caso29 : oui tout à fait 
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caso29
para lizardking13 : Cette Salope de Maria est une sacrée Chienne toujours prête à se faire défoncer ces 3 orifices
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ccandau
para lizardking13 : je t'ai gâtée ma cagole entre le métro et le taxi tu as chargé
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tres excitant je suis trempée,qu'est ce que je prends depuis que je te connais vieux salaud no limits
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