EMMA PART 6

Etant rentré en compagnie d'Emma qui avait démarché, à sa manière voir EMMA 5, ramenant de plus un auto stoppeur franco syrien prénommé Assad, qui fut accueilli très chaleureusement par le trio de salopes recrutées par la brune, alors qu'avec Emma je faisais le point.

C: bon c'est pas tout mais on devrait aller chez Martine pour les dernières touches.
E: avec plaisir car elle est toujours très accueillante.
C: calme toi salope, va te changer car t'as vu ta robe?
E: qu'es ce qu'elle a ma robe, un peu déchirée sur le coté, cela ne dérangera pas la maire.
C: oui c'est sur, mais dans les rues tu crois pas que c'es de la provocation.
E: mais non ça va en chauffer quelques uns, les bobonnes seront heureuses ce soir.

Nous partons en direction de la mairie, tout le long du parcours ce n'est que sifflets grivoiseries diverses, qui au lieu d'effrayer Emma l'excite faut la voir se tortiller montrant une absence totale de dessous, elle s'en amuse même sa robe fine coincée dans sa raie culière, notre entrée à l'accueil est magnifique, tous les yeux des employés des deux sexes sont rivés sur les délicieuses formes de mon accompagnatrice, l'huissier nous introduit dans le bureau ou là.
M: oh mes chéris quel plaisir de vous voir.
C: oh du calme on est pas là pour nous amuser.
M: mon pervers un petit trio pour démarrer la journée.
C: putain mais tu es intenable, on est venu pour parler sérieusement.
E: oui le vieux est têtu voulait venir avec Assad, j'ai cru qu'il allait me cogner.
M: dommage j'aurais bien aimer le revoir ce beau brun, bon puisque il veux pas jouer que veux tu savoir.
C: tout simple sur un chantier il faut héberger les ouvriers, ensuite faut prévoir un bungalow pour qu'il y ai un toubib et une infirmière.
M: putain c'est vrai j'y avait pas pensé, mais je crois que tu as ça dans tes manches.
C: d'accord c'est moi qui doit trouver ça, mais les bungalows c'est de ton ressort non connasse.
M: oh mais il se fâcherait mon papy, pour les bungalows j'en ai parlé à un pote on en aura, d'accord ils seront pas tout neuf.
E: tu vois mon coquin qu'elle y avait pensé ma chérie.
C: pour les ouvriers oui, mais ce qui concerne le médical il faut un bungalow propre, de grande taille afin que le toubib est un endroit pour consulter, et un espace suffisant pour installer des blessés, car il en aura évidemment.
M: d'accord vais voir avec un concessionnaire, c'est tout?
C: tu réfléchis pas beaucoup, tu crois pas qu'il faut une baraque pour qu'Assad cuisine, il va pas faire cinq bornes pour livrer la bouffe.
E: oui là il a raison surtout que les serveuses ne vont pas cavaler pour apporter les plats.
M: exact j'y avais pas pensée, mais c'est fini car j'ai des fourmis dans le bas ventre.
C: et les sanitaires, ils se soulagerons en plein air c'est toi qui leur nettoiera le cul?
M: ben on va creuser un grand trou, poser des planches et le tour est joué.
C: oh putain on est pas au moyen âge, les douches qu'est ce que t'en fait.
E: tu vois il pense à tout, là suis d'accord avec mon coquin, j'insiste car en principe d'ici deux ou trois jours il devrait y avoir les premiers ouvriers.
M: bon m'en occupe tout de suite, à peine a t elle dit ça que son téléphone sonne, dès qu'elle a décroché on remarque son visage changer ne répondant à son interlocuteur que par des "oui bien sur" "entièrement d'accord" "parfait à demain", quand elle raccroche nous fixe "merde après demain l'hygiène et les flics viennent inspecter le chantier pour voir si c'est conforme".
C: tu vois au lieu de ne penser qu'à te faire pilonner, t'aurais déjà avoir tout prévu.
M: putain mais en même pas 48h comment veux tu que tout soit en place?
C: t'as pas des adjoints délègue salope, file les voir nous on t'attends.

Elle sort de son bureau affolée me laissant seul avec Emma.
E: dit mon coquin tu étais au courant?
C: pas du tout mais c'était prévisible, les services d'hygiène sont nécessaires, quand à la police pense que c'est pour vérifier les papiers, voir si on a pas des sans papiers.
E: oui tu as raison mais ai envie d'autre chose, en attendant la pute une gâterie te détendrais pas mon coquin?

Que répondre à cette proposition sinon oui, elle s'approche de moi dégrafe mon pantalon qu'elle m'enlève, moi lui enlève sa robe dévoilant ainsi sa nudité, elle se penche vers moi se saisissant de ma verge mi molle qu'elle caresse tendrement, passe sa langue sur ma hampe embrassant mon gland, jouant avec mes burnes puis me voyant au garde à vous, me fixe "chéri bourre moi le cul" vu cette demande je la prends par la taille, la faisant s'assoir sur mes genoux là elle se saisi de mon chibre qu'elle dirige vers son fion, mon gland entre dans cette grotte comme dans du beurre, là c'est un oohhhhhhh ppputaainnnnnnn fouuurrrreeeeee llaaaaaa ppppuuuttte quand un "fumiers vous auriez pu m'attendre", voila l'édile qui reviens les joues empourprées d'avoir courue à la chasse de ces adjoints.

En deux temps trois mouvements se retrouve nue enfin presque, si on considère un PJ et des bas noirs comme vêtements, elle s'approche de ma cavalière la prends par les épaules l'embrasse à pleine bouche, un superbe jeu de langues là me manifeste "putasses faudrait s'occuper de moi" "oh pardon mon coquin", Martine se saisi de mon chibre le dégageant de la grotte qu'il visitait pour le prendre en bouche, pour une fellation superbe agrémentée de la langue d'Emma qui me léchait avec application mon cul, ma fellatrice s'activant sur mon pieu charnu murmurant "humm elle a bon gout salop" mon ex cavalière répondant "t'aime mon beurre?" "oui j'adore le chocolat" "continue salope moi je vais se vider dans ta bouche chérie" "ohh ouiiiii veux sa crème" moi j'étais submergé ses deux furies s'activant sur mes fondements, quand mon cul fut subitement investi par deux doigts amenant de ma part une éjaculation brutale, remplissant la bouche de l'édile qui en bonne salope faisait tourner ma semence dans sa gorge, moi je m'affalas dans ce fauteuil laissant ces deux femelles échanger dans un bouche à bouche splendide.

Alors que je récupérais les deux furies en profitaient pour se gouiner, partant dans des vocalises digne d'une cantatrice le bureau résonnant de oouiiiiiiiiii cchhérrriiiee booooooouuuuuuufeeeeeeeeeee moiiiiiiii aarh doiggggggteeeeeee mmmmoiiii llllllleee cccuullll aaaaaaahhhhhhh commmmmme çaaaaa ouiiiiiii fiiisteeeeee mmmoiiiiiii ppputtaaaainnnn quand un putaaaaaaaainnn jjjjjjjjeeeeee jjjooouiiiiiiiiisssssssssss au quel répondait un mmmmoiiiiiiii aaaausssiiiiiii aahhhhhhh jjjeeeee pppisssseeeeeee.

Incroyable à voir les deux salopes se vidant leurs vessies sur leurs corps, qu'elles léchèrent de vraies putes, moi ayant repris mes esprits prenait le téléphone pour contacter ma toubib, lui demandant de venir à la mairie pour un entretien au sujet du chantier de la future maison de retraite, elle me répondit "écoute ai encore deux patients serait là dans un peu plus de trente minutes", sur ce je raccrochais, là les deux salopes s'enculaient avec un double dong, leurs culs s'écrasant l'un contre l'autre dans des claquements de chairs, voyant ça j'approchait mon sexe de la bouche d'Emma qui s'en empara pour une autre fellation aussi agréable que celle de Martine, leurs bouches étant deux fourreaux de velours.

Après avoir jouis les deux salopes vinrent s'assoir à mes cotés.
M: à qui téléphonais tu mon salop?
C: à un toubib trainée.
E: il est comment, j'espère que c'est un beau mec?
C: tu verras bien espèce de pute, ils doivent se régaler à ta boite.
E: c'est pas interdit mon pervers, comment crois tu que je suis arrivée à ce poste.

L'échange étant interrompu par des coups frappés à la porte, Martine criant un "entrez" la porte s'ouvrant sur ma toubib Elodie superbe rousse 43ans 1m65 90D, son entrée fait sensation Emma "mais c'est une gonzesse salop encore une de tes salopes" "tu es jalouse?" par ailleurs notre maire sautait au coup de la toubib l'embrassant avec fougue.

M: alors grand pervers c'est ça ton médecin male?
C: pourquoi tu l'aimes pas.
M: bien sur c'est ma doctoresse, d'ailleurs c'est la notre vieux vicieux.
E: j'aurais aimer un mec, mais une rousse va pimenter.
El: mais suis là pour parler cul, ou plutôt travail, mais vu vos tenues je constate qu'il doit faire trop chaud ici.
M: laisse tomber ma chérie, tu peux te mettre à l'aise si tu veux.
C: oui fait comme chez toi ma belle, en attendant c'est pour que tu sois responsable des soins sur le chantier.
El: oui mais ne suis pas toujours dispo j'ai un cabinet et des clients.
M: bien sur mais t'es joignable en permanence non?
El: suis obligée vu que beaucoup de clients sont âgés sans compter la maison de retraite.

Elle se relève de son siège passe devant moi pour rejoindre Martine, nous enjoignant de la dévêtir et devant les yeux d'Emma nous effeuillons la rouquine, qui se trouve nue exposant sa nudité superbe montrant que c'est une vraie rousse, je corps constellé de taches de rousseur, sans compter une chatte fine décorée d'un triangle de poils roux, Emma fixe ce tableau de passant la langue sur les lèvres.

Emma nous rejoint "si on faisait connaissance", Elodie ne se fait pas prier et les voila entamant un ballet saphique, nous laissant seul là Martine se positionne penchée sur son bureau, offrant à ma vue sa pastille ouverte "encule moi mon pervers " ne peux qu'obéir et à nouveau ce bureau s'emplit de feulements divers et variés, ce n'est que oohhhhhh bbbbouuuuuffffffe moiiiiiiiiii arrrrh salllloppppppp enccullleeee mmmmoiiiiiiii aahhhh ttttaaaaa lannnggggueeeeeee lèccccchhheeeeee mmmmoiiiiii commmmmeeeeee ççaaaaa pluuussssss fffoorttttt pilonnnnnnneee mmmmmoiiiiii llllleeee fffffiooooonnnnnnnnnnnnn fumierrrrrrrrrrr ffffiistteeeeeee mmmmmoiii sallopppppeeeeeeee, tout cela se terminant par une explosion de toute beauté un grand aaaaaarrrrgggggghhhhhhhhhhhhhh, emplissant la pièce.

Chacun étant repu après nous être désaltérés, nettoyés rapidement dans les toilettes attenantes au bureau de l'édile, nous être rhabillés nous priment congé chacun retournant à ces occupations, sur le chemin du retour Emma ne put s'empêcher de donner son opinion sur Elodie "putain mon chéri elle est chaude ta rousse et j'adore son odeur" "à l'occasion fait toi porter pale" "bonne idée", quand nous entrons chez moi, c'est toujours le bordel Assad étant l'objet des trois putes.

Enfin Emma prenait les choses en mains "les filles à partir d'aujourd'hui Assad n'est plus un jouet d'ci 48h il va falloir se préparer pour bosser" ne peux que la féliciter devant cette décision.

Après un repas comme toujours délicieux mais fortement épicé, chacun rejoignit ses quartiers pour passer la nuit, qui pour une fois fut calme, mais pensait que la tempête était proche.

Seule la suite nous le dira.


FIN PART 6


A SUIVRE EVIDEMMENT
Publicado por ccandau
1 mes atrás
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